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Bio / Naturel

Faire la transition entre une alimentation carnivore et une alimentation plus végétale selon le Dr Gabriel Cousens (2ème partie)

Suite et fin de cet article, dont vous trouverez la 1ère partie ici.

Certains passages risquent de choquer pour diverses raisons (je reconnais que le message est assez effrayant dans son ensemble)… les références à certaines racines religieuses sont à prendre ou à laisser selon vos propres ressenti, culture, convictions.
Ces écrits n’engagent que leur auteur, ici vous en trouvez seulement la traduction :

….

Selon un article publié dans le journal « Science« , les espèces de grande taille dans les grands-fonds sont celles qui présentent le plus de risques, ce qui signifie que le cabillaud, le flet, le flétan, le colin, la raie et la sole des eaux en question pourraient être à exclure pour des années.
« Ces poissons pourraient être bannis pour un long moment. Le plus surprenant pour moi fut que les niveaux de radioactivité dans les poissons ne baissaient pas. Ils auraient dû avoir des taux beaucoup plus bas« , dit Ken Buesseler, scientifique à la Woods Hole Oceanographic Institution aux États-Unis, qui a écrit un article intitulé Pêcher pour des réponses au large de Fukushima.

Des scientifiques ont ciblé un thon bleu et découvert qu’il faisait la traversée entre le Japon et la côte Ouest (des USA) trois fois en 600 jours. Le Wall street journal a rapporté les études des auteurs : « Le thon emmagasine et transporte le tout à travers le plus grand océan du monde, » dit l’écologiste de la marine Daniel Madigan de l’Université de Stanford, qui a dirigé l’équipe de recherche.
« Nous avons été complètement surpris de le découvrir mais encore plus surpris de le découvrir dans chaque mesure faite. Nous avons découvert qu’absolument chacun d’entre eux avait des concentrations comparables de césium-134 et de césium-137, » dit le biologiste marin Nicholas Fisher à l’Université de Stony Brook dans l’état de New York, qui faisait partie du groupe d’études.

J’ai présenté de nombreuses raisons pour lesquelles on devrait arrêter de consommer du poisson. Il n’y a aucun nutriment trouvé dans le poisson qui ne peut être trouvé de façon plus sûre et plus saine dans des sources végétariennes.
Bien que considéré un temps comme plus sûr que les mammifères, la toxicité environnementale ayant renversé la vapeur, le poisson est désormais la chair animale la plus dangereuse à consommer.
La mauvaise nouvelle c’est que cela va tout simplement empirer.

Ne vous goinfrez pas comme des cochons…

Le Porc est l’une des viandes les plus consommées dans le monde. La Chine est le plus gros producteur de cochons, qui ont commencé à être domestiqués vers 7500 ans avant J.C environ. On estime aujourd’hui que 38% de la viande produite est du porc. Le Centre de prévention et de contrôle des maladies (Center for Disease Control and Prevention -CDC) note que plus de 100 virus arrivent chaque année aux États-Unis en provenance de Chine à travers les cochons.
Le tristement célèbre virus H1N1, plus connu sous le nom de « grippe porcine », est un virus qui a franchi le pas du cochon à l’humain.
On a supposé que la trichinellose (ou trichinose) était la cause réelle de la mort plutôt soudaine de Mozart à l’âge de 35 ans. Un chercheur américain a théorisé ceci après avoir étudié des documents relatant les jours avant, pendant et après la mort de Mozart. Il a découvert que Mozart souffrait de plusieurs des symptômes indiqués ci-dessus et lui-même avait mentionné dans son journal la consommation de porc juste quarante-quatre jours avant sa propre mort.

Les cochons sont les premiers porteurs du ténia, du virus de l’hépatite E (HEV), du syndrome reproducteur et respiratoire porcin (SRRP), du virus Nipah (encéphalite), du virus Menangle. Chacun de ces parasites peut amener de sérieux problèmes de santé qui peuvent durer des années.

La chair du cochon est considérée par de nombreuses autorités comme la cause première de nombreuses maladies en Amérique provoquant maladies du sang, faiblesse de l’estomac, troubles du foie, eczéma, tuberculose, tumeurs, cancer et trichinose.
Beaucoup de troupeaux sont infectés par une maladie incurable du verrat appelée la « démangeaison folle » (maladie d’Aujeszky). Elle est transmise par la salive des verrats laissée sur le maïs que le bétail consomme. Les démangeaisons du bétail deviennent si intenses que les animaux sautent d’un tronc à un autre pour se frotter la peau jusqu’à le faire avec leur bouche et rapidement mourir. Quand la salive de la bouche des verrats va empoisonner le bétail de cette façon, comment ces verrats peuvent-ils être bons à consommer par les humains ?

Le très célèbre article du professeur Hans-Heinrich Reckeweg qui titrait « L’influence négative de la consommation du porc sur la santé » offre quelques vues importantes sur le fait qu’il y a eu une prohibition contre la consommation de la chair porcine, qui a déjà été mentionnée il y a quelques 3500 ans dans la Torah. Ses points problématiques sont les suivants :

1) La consommation de toutes les formes de porc, y compris frais, fumé ou en saumure, peut provoquer de nombreuses réactions inflammatoires telles que : inflammations de l’appendice et de la vésicule biliaire, des coliques biliaires, une catarrhe intestinale aiguë, de la gastroentérite avec des symptômes de typhoïde et de paratyphoïde, aussi bien que de l’eczéma aigu, des furoncles, des abcès suppurants, et autres (l’utilisation de sel pour la saumure a démontré pouvoir tuer les kystes du Ténia après 12 heures).

2) Nous sommes ce que nous mangeons, et les cochons mangent n’importe quoi y compris de l’urine, des excréments, de la saleté, de la chair animale en décomposition, des asticots ou des végétaux pourrissants. Ils peuvent même manger les grosseurs cancéreuses d’autres cochons ou animaux. Ces énergies toxiques sont transportées dans la chair du porc.
Ceci est amplifié parce que la chair/graisse du cochon absorbe les toxines comme une éponge. Ceci est en partie la raison pour laquelle la chair du cochon peut être 30 fois plus toxique que celle du bœuf ou du chevreuil. Ceci est encore exacerbé par le fait que les cochons ne transpirent pas, donc plus de toxines sont retenues dans leur chair.

3) Cela prend de 8 à 9 heures pour digérer le bœuf ou le chevreuil, donc les toxiques sont filtrés à travers le foie et vont dans le corps à une vitesse plus lente. Le porc demande seulement 4 heures pour être digéré. Ceci signifie que plus de toxines sont absorbées dans l’organisme en un temps plus court et par conséquent plus susceptibles de provoquer un stockage élevé de toxines.

4) Les porcs et toute la famille des cochons, sont littéralement tellement contaminés qu’ils sont pratiquement immunisés contre la strychnine ou autres poisons. Si un cochon est mordu par un crotale il ne sera pas atteint par le venin parce que sa chair est déjà tellement toxique.

5) Les cochons ont plus d’une douzaine de parasites en eux : ténia, douve, vers et trichines. Il n’y a pas de température de sécurité pour s’assurer qu’ils sont tués. Le cochon transporte 30 maladies qui peuvent être transférées aux humains.
La trichine (ver) un des plus sérieux parasites, est microscopique, et une fois ingéré peut se loger dans les intestins, les muscles, la moelle épinière ou le cerveau. Dans le porc, que les américains consomment, séjournent trop souvent des myriades de parasites embarrassants et sinistres. Il y a de minuscules vers spirales que les scientifiques nomment trichinella. Une seule portion de porc infecté –même une simple bouchée– peut tuer ou paralyser, ou condamner la victime à toute une vie de maux et de douleurs. La trichine est juste un ver trouvé dans le cochon.
Il y a aussi un gros ver rond, le vers de l’œsophage, trois sortes de vers de l’estomac, un petit vers de la chevelure, l’ankylostome, et le « thornheaded worm » (si quelqu’un connait une traduction en français…) dans le petit intestin. Il y a plusieurs espèces de vers nodulaires et une espèce de trichocéphale dans le gros intestin, et le vers du rein. Le gros vers rond peut atteindre jusqu’à 45 cm.
Un rapport spécial donné au personnel médical en 1962 à la Conférence des médecins et infirmières sur les maladies transmissibles au Wesley Medical center, à Wichita (Kansas) indique qu’une personne sur trois est infectée par la trichinose.

6) Les vaches ont quatre estomacs et digèrent leurs aliments en 24 heures. Les cochons mettent seulement 4 heures pour digérer leur nourriture et transformer leur nourriture viciée en chair. La rapidité de la digestion augmente encore la toxicité de leur chair.

7) Sur un niveau plus subtil les gens sont influencés par le corps subtil des mammifères qu’ils mangent et par conséquent celui qui mange de la chair de cochon prendra une partie des qualités du cochon. Les cochons, bien qu’intelligents, ne sont pas considérés comme une nourriture spirituellement évolutrice dans la plupart des traditions religieuses.
Les gens ont déformé les mots divins pour se convaincre de manger des aliments interdits. Dieu n’a pas changé d’avis au sujet des aliments pas plus que sur la structure des animaux. Jésus n’a jamais consommé de nourriture impure et n’a pas déclaré que toute la nourriture était pure. Le verset « (Jésus a purifié tout aliment) » fut ajouté plus tard et n’est dans aucun des manuscrits originaux. C’est pourquoi il est mentionné entre parenthèses. Paul, pas plus que les disciples, n’a mangé d’aliments interdits (même après la résurrection de Jésus). La vision de Pierre ne concernait pas la nourriture mais les vertueux et les juifs.
Si un animal vient à mourir dans un champ et reste au soleil jusqu’à sa décomposition et jusqu’à ce que les asticots et la putréfaction s’installent, des cochons et autres charognards viendront manger la pourriture et la matière putride. La chair des charognards n’a jamais été prévue pour la consommation humaine.  « … le cochon, parce qu’il a le sabot fendu et le pied fourchu mais ne rumine pas, est impropre pour vous. Vous ne mangerez pas sa chair et ne toucherez pas sa carcasse, ils sont impropres pour vous. » (Lévitique 11:7-8)

Problème de la volaille

Beaucoup de gens se tournent vers la volaille quand ils arrêtent la viande rouge. Malheureusement la volaille, qui présente des dangers similaires à la viande rouge, tels que 30 fois plus de pesticides, d’herbicides et de radioactivité (que les végétaux), a quelques remarquables problèmes par elle-même : des possibilités élevées d’infections par la salmonelle et la bactérie campylobacter.
Selon « Avancées des recherches sur la viande » par Pearson et Dutson, plus de 80% des poulets et 90% des dindes sont infectés par la bactérie campylobacter. Cette bactérie provoque une infection intestinale similaire à la salmonelle. Ces organismes sont devenus résistants aux antibiotiques en raison de l’utilisation élevée des antibiotiques dans les élevages de poulets. Ceci signifie que lorsqu’ils causent une infection, les antibiotiques ne fonctionneront pas efficacement pour tuer la bactérie pathogène.

Selon le « Project censored ratings », un rapport du 8 juin 1990 du Pacific Sun, le « jeu de la volaille » dans l’industrie du poulet a été déclaré par vote comme l’une des dix histoires les moins relayées de 1989.
Dans leur article, il est rapporté que l’incidence de l’infection bactérienne par la salmonelle est désormais de deux millions et demi de cas par an, y compris des hospitalisations estimées à un demi-million et à neuf mille décès.
Apparemment l’épidémie est provoquée par un virage énorme des consommateurs vers une « alimentation plus saine », ce que les gens considèrent à tort comme étant le cas des poulets. Les dangers sont aggravés par une défaillance massive du département américain de l’agriculture (USDA) dans l’inspection des poulets. Une diminution dans le personnel de l’USDA a conduit à une augmentation massive de la contamination des poulets. L’article mentionne « L’USDA a bâillonné les inspecteurs et détruit les documents indiquant que l’Agence a approuvé des quantités massives d’aliments contaminés. »

Dans l’article du Pacific Sun, le Dr Carl Telleen, un vétérinaire retraité de l’USDA, révèle comment « … des carcasses de poulet contaminé avec des excréments, autrefois couramment condamnés ou retirés, sont désormais simplement rincés à l’eau chlorée pour ôter toutes traces. »

Selon le Dr Telleen, « des milliers de poulets sales sont baignés ensemble dans une cuve froide, créant un mélange connu sous le nom de « soupe fécale » qui étend la contamination d’un volatile à l’autre.«

Ceci crée ce que le Dr Telleen désigne comme « épuration immédiate ». Des articles comme celui-ci accélère un petit peu l’abandon de la volaille pour de nombreux lecteurs.

En plus de ces deux principales bactéries, il peut y avoir un type d’organisme semblable à un virus dans les tumeurs des poulets qui semble transmissible aux humains. Cet organisme est considéré comme identique au microbe trouvé par le Dr Peyton Rous dans les tumeurs des poulets, qui est présenté comme transmissible. Pour ce travail de pionnier il a reçu le prix Nobel en 1996. La projection selon laquelle le virus de Rous pourrait être associé au cancer humain est encore discutable.
Les travaux de Virginia Livingstone Wheller, docteur en médecine, suggèrent fortement que la plupart des poulets sont, au minimum, infectés microscopiquement par le cancer. Ce cancer du poulet, comme le virus de Rous, pourrait être transmissible aux humains.

Pour manger des animaux et du poisson dans le monde actuel, il faut endosser la psychologie d’une conscience de victime, car ces êtres vivants sont rendus victimes par la façon dont ils sont traités. Une fois informé des dangers, il est difficile de séparer la consommation de la viande d’une forme passive d’un souhait de mort.

Plusieurs études récentes ont montré que les poulets sont des animaux intelligents, capables de résoudre des problèmes complexes, de faire preuve d’auto-contrôle, et de se soucier de l’avenir.

Le Dr John Webster de l’Université de Bristol a découvert que les poulets sont capables de comprendre les causes et les effets et que lorsque les poulets apprennent quelque chose de nouveau, ils répercutent ce savoir (c’est-à-dire qu’ils ont ce que les scientifiques nomment « culture« ). Ils sont aussi connus pour être des guerriers et sont probablement à l’origine du qualificatif « henpecked » (en français : « dominé par… » – Le mot « hen » signifiant « poule »).

Les poulets sont les animaux les plus maltraités sur la planète. Des poulets élevés pour leur chair sont entassés par milliers dans des locaux immenses. Ils sont nourris avec de grandes quantités d’antibiotiques et de médicaments pour les garder vivants dans des conditions qui, autrement, les tueraient. Il y a 55 fois plus de poulets tués chaque année que de cochons et de vaches réunis.

Une étude de l’USDA a découvert que les poulets à cuire vendus dans les magasins ont des niveaux détectables de E. Coli, indiquant une contamination fécale.

En d’autres mots, si vous mangez de la viande de poulet, vous mangez presque certainement des excréments de poulets. Consumer Reports mentionne qu’il y a « 1,1 million ou plus d’américains malades chaque année par des poulets sous-cuits et contaminés« . La chair de poulet est aussi chargée avec des niveaux dangereux d’arsenic, qui peut causer le cancer, la démence, les problèmes neurologiques et d’autres affections chez les humains. Le magazine Men’s Health a récemment classé le poulet de supermarché en numéro 1 sur leur liste des « 10 aliments les plus dégoûtants » en raison de leur taux élevé de contamination bactérienne.

A la fois le « Centre pour le contrôle des maladies » (Center for disease Control) et l’Organisation mondiale de la Santé disent que si le virus de la « grippe aviaire » s’étend à travers les États-Unis, il pourrait être simplement attrapé  :

  • en mangeant de la viande de poulet sous-cuit ou des œufs,
  • en mangeant des aliments préparés sur la même planche à découper que celle qui a servi à de la viande infectée ou à des œufs,
  • ou même en touchant des coquilles d’œufs contaminés par la maladie.

Élever 9 milliards de poulets en usine chaque année produit un montant énorme d’excréments. La pollution fécale des poulets d’élevage est particulièrement désastreuse pour l’environnement. En Virginie de l’Ouest et dans le Maryland, par exemple, des scientifiques ont récemment découvert que les poissons mâles produisent des ovaires, et ils suspectent que cette difformité effrayante est le résultat de résidus des excréments chargés d’œstrogènes et de médicaments des poulets d’élevages industriels.

Les poulets grillés –une alternative populaire aux poulets frits– contiennent couramment du PhIP (2-Amino-1-méthyl-6-phenylimidazo[4,5-b]pyridine) -Voir aussi ici-, qui pourrait contribuer au développement de certains types de cancers y compris du sein et de la prostate.

Une pratique industrielle courante est l’alimentation des poulets avec de l’arsenic de façon à les faire grossir plus rapidement. C’est hautement toxique pour les humains et peut provoquer cancer, démence, problèmes neurologiques et autres affections. Les HCAs (amines hétérocycliques) sont trouvés dans les viandes cuites à des températures élevées, y compris les poulets, et ont aussi été associés à un risque accru de cancer.
Une analyse du Consumer Reports a découvert que 83 % des poulets à cuire, frais et entiers achetés à travers les USA avait des niveaux élevés de campylobactérie ou de salmonelle. La campylobactérie est la cause majeure des empoisonnements dans la grippe aviaire aux USA qui pourrait avoir détourné l’attention des grands médias, mais c’est cependant une maladie très sérieuse qui est transmise par l’intermédiaire de la volaille.

Étant donné le niveau de toxicité qui se concentre dans les animaux quand nous montons dans la chaîne alimentaire, et qu’il n’y a rien dans la nourriture animale que nous ne puissions trouver avec une supplémentation, il n’y a aucun besoin biologique de consommer quelque niveau que ce soit d’aliment animal.

Pour ceux qui s’inquiètent de savoir s’ils peuvent trouver suffisamment de protéines, il est important de comprendre que la viande, le poisson et les poulets offrent respectivement 16%, 17% et 18% d’assimilation des protéines. Les œufs, aussi dénommés « protéines parfaites », auxquels tous les types sanguins réagissent négativement, sont à 44% assimilables. La chlorelle, la spiruline et les algues bleu-vert sont assimilables à 95% tout en étant de superbes sources crues de protéines. (Au Tree of Life, en raison de la pollution de Fukushima, nous avons délibérément fait l’effort de fournir des sources de chlorelle et de spiruline éloignées de ces eaux contaminées). De plus, il y a de nombreuses sources vegan/végétaliennes qui concentrent les protéines sous forme de poudre.

Il faut aussi noter qu’il y a danger d’un excès de protéines. Selon la Recherche la quantité optimale de protéines se trouve entre 35 à 70 grammes quotidiennement, optimisant la voie génétique du M-TOR qui promeut les anti-cancer et les anti-vieillissement.

(Traduction de cet article : http://treeoflifecenterus.com/a-new-look-at-transitioning-from-eating-flesh-food/?utm_source=newsletter08072014&utm_medium=email&utm_campaign=Weekly%20Guide#sthash.o5X50woU.dpuf)

Pour illustrer cet article, et sans aucun doute confirmer les avertissements émis par le Dr Cousens, vous pouvez lire l’article de Univers Nature.

Voir aussi ce livre : Ces Poissons Qui Tuent : Comment la Vie Aquatique Menace Votre Santé.
Cosa Nostra Design

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